Lettre d’information n°8

Prix François Mauriac 2018

Jean-Louis Comolli est le nouveau lauréat du Prix François Mauriac pour son ouvrage Une terrasse en Algérie (Éd. Verdier). Le prix lui sera remis le vendredi 5 octobre à Malagar, par Alain Rousset, président de la Région Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Noël Jeanneney, président du jury.
La cérémonie débutera à 18h30, et s’ouvrira en musique avec le Muños Sextet. Soirée accessible sur réservation uniquement, nombre de places limité.
Sur la soirée et sur le lauréat

Malagar en toutes lettres

Amoureux des livres et de la lecture, la deuxième édition de Malagar en toutes lettres est faite pour vous !

• Samedi 6 octobre à 10h30 // Atelier d’écriture animé par Dominique Sigaud « Un jour, j’ai détesté la langue qu’on m’adressait. Un jour, j’ai aimé la langue qu’on m’adressait ». Souvenir. Fragments d’un récit.
  Ouvert à tous et gratuit sur inscription : malagar.fr

  

• Samedi 6 octobre à 14h30 // En tête à tête avec Chantal Thomas, rencontre ponctuée de lectures par Camille Soulier, comédienne.
• Samedi 6 octobre à 17h00 // Carte blanche à Tanguy Viel. Le lauréat du Prix François Mauriac 2017 invite l’écrivain Christian Garcin à une conversation autour de « ces voyages qui forment la littérature ».

• Dimanche 7 octobre à 14h30 // Le Garçon, lecture musicale de et par Marcus Malte suivie d’une rencontre avec l’auteur.
  Modération des rencontres : Natalie Levisalles.
  Partenaires : Le Chalet Mauriac et le festival Lettres d’Automne de Montauban.
  Livres, lectures, musiques et écritures

Malagar Autrement

Façonné par les générations de Mauriac qui s’y sont succédées, le parc de Malagar s’ouvre à vous dimanche 7 octobre à 10h30. Cyprès, peupliers d’Italie, allées des rosiers et de charmilles, tilleuls centenaire et la fameuse terrasse : Malagar est un patrimoine végétal et minéral unique, aujourd’hui classé.
Venez partager cet instant où “Ce que voit le peintre ou le poète au-dedans de lui, c’est la part humaine d’un paysage”, François Mauriac, Nouveaux Mémoires Intérieurs.
Quand le parc vous est conté